On a  tous en tête le rire d’un enfant qu’on chatouille où dont une mimique provoque le rire.
Sous le pied nu avec un doigt lorsqu’il est sur la table a langer, ou en lui soufflant dans le cou. Cela part d’un premier hoquet de rire, puis un autre et encore un autre.
Et c’est bon à entendre, c’est bon de le provoquer. C’est un peu comme prendre un lexomil.

On l’entend et on se sent mieux.
Quand les enfants grandissent certains ont des zones bien sensibles que l’on peut chatouiller.
Jolis moments de défoulement que des parties de chatouilles. Surtout juste avant de se dire bonsoir, parce que c’est toujours plus rigolo de se calmer après un chahut…

Parce que rire est bon pour la santé. Parce qu’entendre rire les enfants est rassurant. Pour moi c’est même énergisant. Même si c’est provoqué.

Hier je disais à Basile que les parties de chatouille étaient plus rares avec lui maintenant qu’il mesurait 1,60m et qu’il était aussi fort que moi (oui il est très fort Basile). Même si quand l’occasion s’en présente, je ne me gêne pas pour glisser une main sous son teeshirt (après tout il n’a qu’à mettre son teeshirt dans son pantalon). L’intention suffit à le faire rire.

Je lui ai proposé de pratiquer l’auto-chatouille. Et ça marche.
Basile a la capacité de se faire rire lui-même en se chatouillant entre les côtes. Et c’est drôle.

Ce n’est pas très utile.
Mais pas moins utile que de savoir toucher son nez avec sa langue ou de réussir a faire bouger des oreilles sans bouger le reste du visage.

Oui je vous voir faire des grimaces devant votre miroir pour vous entraîner et ce soir au dîner avec vos enfants.

Et ça vous fait rire? Alors c’est la seule chose à retenir.

N’oubliez pas d’aller faire écrire votre acrostiche